Selon l’article « Dormir en bikepacking, ou comment bien définir sa notion de confort nocturne » publié sur Weelz! par Xavier CADEAU, il existe quatre options pour passer la nuit en bikepacking : l’hôtel, le camping, le bivouac et le logement chez l’habitant. L’option hôtel est la plus confortable mais peut poser des problèmes pour stocker le vélo. Les établissements avec le label Accueil Vélo sont recommandés. Le camping est une option moins chère et plus sécurisée, mais nécessite du matériel léger tel qu’une tente de trekking ou une tente bikepacking. Il est conseillé de répartir les éléments de la tente dans les différentes sacoches de bikepacking. Le bivouac est l’option la plus minimaliste en termes d’équipement, mais nécessite un duvet adapté aux températures et un système d’abri ultra-minimaliste comme un bivy ou un tarp. Il est important de respecter certaines règles de base pour le bivouac, comme choisir un lieu qui ne dérange personne et avoir un impact minimal sur l’environnement. Dormir chez l’habitant en utilisant la méthode « J’irais dormir chez vous » d’Antoine de Maximy permet de faire de belles rencontres et d’échanger sur le voyage à vélo. Le vélo semble être un moyen de transport qui inspire confiance aux personnes croisées, ce qui facilite l’accès à ce type d’hébergement. Il est également possible d’utiliser des solutions comme Warmshower, un réseau d’hébergement gratuit pour les cyclistes. En ce qui concerne l’équipement bikepacking, l’article recommande de gérer efficacement l’espace et le poids en plaçant les éléments les plus lourds le plus bas possible pour ne pas modifier le centre de gravité du vélo. Il est également conseillé de séparer les sacoches en différents espaces pour faciliter le rangement et d’emporter toujours une besace bandoulière pour un espace de stockage temporaire supplémentaire.
Source : Weelz! – Dormir en bikepacking, ou comment bien définir sa notion de confort nocturne par Xavier CADEAU. Publié le 12 août 2022.
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